Genova, 4 novembre 2011 |
Peu après la pluie qui a changé la géographie de la Ligurie le 25 octobre, Gênes nage dans son propre drame. Parmi ceux qui préfère le voir comme un échec politique vu les critiques qu'a reçue l'hôtel de ville, plus précisément adresser à Madame le maire, d'autre part ceux qui l'analyse comme manque d'information, parmi ce dernier groupe opposition, journalistes et professionnels de l'information. Gênes s'est réveillée vendredi avec l'unique information, non développée, de qu'elle allait vivre une journée de pluie inoubliable, effectivement... elle l'a été, surtout pour les familles des 7 victimes qu'a emporté le fleuve, mais le bilan ne peut pas être vu uniquement comme chiffre de pertes humaines et d'infrastructure. Il est clair que si une tempête est prévu, estimée dangereuse, et dont les titres seront toujours archivées sous «alerte a niveau 2» , les citoyens avaient droit pour ne pas utiliser le mot besoin, de conseille plus spécifique pour faire face a la réalité dramatique qu'en moins d'une heure a porté parti du patrimoine du pays le 25 octobre dernier et inondée le centre ville de la capital de la région le 4 novembre. A quoi bon susciter à une psychose générale, quand la journée de vendredi est passé, suivi d'un weekend end assez calme, ou du moins, le suffisamment calme, permettant que même les plus jeunes de la ville mettent la main dans la boue pour réduire les dégâts. Les journée se ressemblent, surtout si toutes les activités sont encore suspendues par les autorités.
Ceci dit ...bienvenue en Italie.
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